Bon état
3,21

Ce pays dont je meurs

Ce pays dont je meurs - Photo 0
Aperçu

Ce pays dont je meurs

3,21 4,01 €
Bon état

4,7
Emmaüs

Paiement sécurisé

Vos données sont protégées

14 jours

pour changer d’avis

Service solidarité garanti

Bénéfices investis dans l’inclusion sociale

Détails

Résumé
Ce pays dont je meurs En novembre 1998, un fait divers hors du commun fait la une des journaux. Une jeune Maghrébine de vingt-six ans vient de mourir de faim à Paris, dans le petit appartement du quatorzième arrondissement qu'elle partageait avec sa sœur. Celle-ci, secourue dans un grave état de sous-nutrition, va être sauvée de justesse.
Comment les deux jeunes femmes ont-elles pu préférer une dignité muette à la survie ? Bouleversée par cette affaire, l'auteur a imaginé leur histoire. Leur mère, jamais guérie de son exil, organise les retours au village natal, bras chargés de cadeaux qui la ruinent. Amira, la petite, née en France, blanche de peau, se fait appeler Marie, mais perd l'appétit, aux prises avec une maladie que, là-bas, on ne connaît pas, l'anorexie. Et puis, l'accident du père...
Les mots simples, dépouillés de toute dramatisation, empreints de la nostalgie et des parfums du passé, mettent en place le mécanisme impitoyable qui broie les exilés. Attirés par le mirage français, réduits à une précarité aggravée par la référence à une double culture, ils ne peuvent revenir en arrière. Ni avouer leur défaite et leur misère.
Il ne s'agit pas ici d'un règlement de comptes avec la France, ou avec l'Algérie. Et, malgré l'évidente gravité du sujet, c'est avec une grande pudeur que Fawzia Zouari nous entraîne dans une réalité que la fiction transcende.
Voir plus
Précisions sur l'état
Quelques rousseurs sur les pages de garde et sur les tranches
Caractéristiques
  • Année : 1999
  • Langue : Français
  • Etat : Bon état
  • Auteur : Fawzia zouari
  • Editions : Ramsay
  • Format : Grand
  • Reliure : Broché
Voir plus
Image Le Lien
58240 LANGERON
Le Lien
4,7 Lire les avis

Voir plus

Vos achats ont du sens

Chez Label Emmaüs, nous avons à coeur d’être transparent sur nos prix.

La plupart des objets que nous collectons sont issus des dons des particuliers. Ils sont ensuite triés, nettoyés, parfois réparés pour leur offrir une nouvelle vie. Tout ce processus est créateur d’emplois pour des personnes en situation d’exclusion. Le produit des ventes sert à financer leur outil de travail et leur accompagnement vers une insertion durable.

Les vendeurs sur label Emmaüs sont principalement des structures à but non lucratif ce qui garantit qu’il n’y a aucun enrichissement personnel à la clé.

Vos achats ont du sens
Ce pays dont je meurs - Photo 0
×

La newsletter

💌 Nouveaux objets à chiner, bonnes affaires, coulisses, engagement, tendances, tutos... Ne ratez rien de nos actualités en vous inscrivant à notre newsletter solidaire !